Bécédia – Un monde de Carnavals le 18 avril dernier à Nantes

Le vendredi 18 avril dernier, quelques jours après le Carnaval de Nantes, Bécédia, l’université populaire itinérante mise en place par Bretagne Culture Diversité faisait escale à la maison de quartier de l’île de Nantes afin de se consacrer au carnaval, son histoire, sa diversité… ici et ailleurs…

Il existe une multiplicité de carnavals en France et dans le monde, aux couleurs et aux formes variables d’un défilé à un autre. Qui sont ceux qui font le carnaval ? Quels sont les enjeux liés à la transmission des savoir-faire carnavaliers ? Commet assurer l’avenir de ces pratiques festives, véritable élément de notre patrimoine culturel immatériel ? Autant de questions en attentes de réponses lors de la rencontre organisée à Nantes. Pour cela BCD/Sevenadurioù avait réuni pour l’occasion des spécialistes passionnés et acteurs du Carnaval :

Nathalie Gauthard, ethnoscénologue, maître de conférences à Nice et présidente de la Société française d’ethnoscénologie, a débuté la session en abordant la question des pratiques carnavalesques, mascarades, fêtes processionnelles… Elle a notamment défini ce que l’on entend par « carnaval », en reprenant une citation Goethe « Le carnaval est une fête populaire qui, à vrai dire, n’est pas donnée au peuple mais que le peuple se donne à lui-même. »

Blodwenn Mauffret, docteure en études théâtrales, s’est ensuite intéressée à la transmission des différents types de savoirs liés au carnaval en les distinguant en trois catégories : les « savoirs imaginaires », de l’ordre du récit, qui apportent la définition de la fête mais aussi les croyances et les mythes qui y sont liés ; on trouve ensuite les « savoir-faire » qui sont tout simplement liés aux techniques que l’on apprend et qui permettent de construire physiquement le carnaval (ex : masques, chars…) et enfin les « savoirs-corps » qui définissent les différentes émotions que l’on ressent lors de la pratique du carnaval (danse, transe…).

Après avoir posé les bases théoriques autour du carnaval, Bécédia avait invité des acteurs de ces rassemblements festifs.

Daniel Dupouet, tout d’abord, est venu avec son expérience de près de 50 années de carnavalier. Il est passé maître dans l’art de la fabrication des grosses têtes qui défilent à Nantes à la mi-carême. Il a évoqué son parcours de carnavalier, nous a présenté son savoir-faire et son engagement au sein du carnaval nantais. Il a conclu son intervention en s’interrogeant sur l’avenir, évoquant le peu d’intérêt des jeunes pour la confection des grosses têtes, leur préférance allant aux chars.

Enfin, Carole Tymen a traversé la Bretagne pour nous parler de ce qui se passe chez les « penn sardin ». Qu’est-ce que les Gras de Douarnenez ? Que s’y passe-t-il ? Comment faire face aux différents enjeux liés à la pérennité du carnaval ? Nous avons eu le plaisir de partager son expérience de carnavalière douarneniste devenue aujourd’hui organisatrice de l’événement.

Une plaquette sur le patrimoine culturel immatériel est désormais disponible

Le collectif « Patrimoine Culturel Immatériel en Bretagne », réunissant un grand nombre d’associations et de fédérations qui travaillent à la sauvegarde du patrimoine breton et animé par Bretagne Culture Diversité, a travaillé à la composition d’une plaquette expliquant ce qu’est le patrimoine culturel immatériel en l’illustrant avec des exemples bretons.

Qu’est-ce que le PCI, dans quel esprit est née la convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel, quelles sont les actions menées en Bretagne, qu’est-ce qu’un inventaire… La plaquette apporte toutes les informations nécessaires à la bonne compréhension de ce qui entoure le PCI.

Si vous souhaitez la diffuser, n’hésitez pas à nous en demander par mail : contact@bcdiv.org ou par téléphone : 02 97 35 48 77.

Vous pouvez également la télécharger simplement.

Publication de dossiers thématiques sur Bretania

Chaque mois, Bretagne Culture Diversité publiera deux dossiers thématiques sur bretania.fr. Ils vous permettront de découvrir ou mieux comprendre la Bretagne !

Ces dossiers, réalisés et illustrés grâce au concours des partenaires du Portail, sont rédigés par des professionnels reconnus. Les thèmes sont très variés : histoire, géographie, langues de Bretagne, ethnologie, littérature, patrimoine immatériel, religion, nature…

Six dossiers sont d’ores et déjà consultables :

·         Les révoltes du Papier timbré

·         La frontière orientale

·         La Bretagne en 1914

·         Le druidisme antique

·         La prononciation des lieux

·        Juillet-août 1914, l’entrée en guerre de la Bretagne

Le prochain dossier aura pour sujet la séparation de l’Église et de l’État en 1905.

Rendez-vous sur bretania.fr

Bretania sur les réseaux sociaux

Bretania est présent sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter !

Une nouvelle publication sera postée tous les jours :

  • Lundi : À la une de la presse : découvrez ce qui faisait la une de la presse il y a plusieurs dizaines d’années !
  • Mardi : Découvrez l’énigme de la semaine et tentez d’y répondre grâce à Bretania.
  • Mercredi : L’actualité d’un contributeur sera relayée.
  • Jeudi : Un document ou un personnage issu du fonds des contributeurs sera mis en avant.
  • Vendredi : La réponse à l’énigme sera dévoilée !

Pour suivre bretania, rien de plus simple :

Facebook : http://www.facebook.com/BretaniaBzh

Twitter : http://twitter.com/BretaniaBzh

Revue Musées et collections publiques de France : parution d’un n° spécial « Oralité et musées, valoriser la mémoire orale collective »

En mars 2013, l’Association Générale des Conservateurs des Collections Publiques de France (AGCCPF) et l’Office du Patrimoine Culturel Immatériel (OPCI) co-organisaient une rencontre à Trélazé (49), pour partager des expériences autour de la prise en compte de l’oralité dans les musées, écomusées et autres institutions publiques.

Ce 268e numéro de la belle revue qui constitue aujourd’hui une référence de l’actualité professionnelle des musées propose ici l’intégralité des communications présentées.

Nous assistons depuis une décennie à un bouillonnement d’initiatives autour d’une problématique jusqu’alors peu prise en compte : la culture orale a-t-elle sa place dans les établissements qui valorisent la culture ? Les Actes de la rencontre initiée par l’OPCI abordent cette question à travers une diversité d’expériences, réunies sous trois grandes rubriques : « Quand la parole vient aux objets », « Valoriser de nouveaux types de patrimoines », « Des outils numériques qui deviennent un nouvel espace muséographique ».

Au fil des communications on découvre les solutions nouvelles proposées par des musées : musée de l’Histoire de l’immigration à Paris, le Musée de l’île d’Oléron, la Communauté de communes du Marais de Monts pour l’Écomusée du Marais vendéen Le Daviaud, le musée des Arts et Métiers/CNAM à Paris, le musée des Confluences à Lyon, le Musée des techniques faïencières à Sarreguemines, musée d’Histoire de Nantes, Historial de la Vendée, mais aussi par desservices de communautés publiques régionales  : Service patrimoine de la Région des Pays de la Loire, Service patrimoine de la Ville de Concarneau, Ville de Blain, Ville de Trélazé, enfin, à travers le regard de chercheurs impliqués dans des démarches de valorisation de ce type de patrimoine : Catherine Cuenca, pour la mission PATSTEC de l’Université de Nantes, Yann Leborgne pour l’OPCI, Gérôme Guibert, de la Sorbonne, pour le CIM.

Ce riche et copieux dossier est disponible auprès de l’AGCCPF, 6 avenue. Mahatma Gandhi – 75116 Paris, tél. 01 44 17 60 60. Prix du numéro : 25 €, port compris.

Les journées Oralité et Musées s’inscrivent dans le cycle de rencontres initié par l’OPCI pour échanger autour de la collecte, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel immatériel.

Prochains rendez-vous :

Mémoires en chantier – Mémoires des ports, du 3 au 5 octobre 2014 (coorganisé avec la Ville de Concarneau).

Mémoires entrelacées : quatre journées marquant les cinq ans de l’OPCI, à Nantes, du 22 au 25 octobre 2014 (en partenariat avec Les Anneaux de la Mémoire et Mémoires de l’Outre-Mer).

Renseignements et inscriptions : Michel Colleu – OPCI, 29 rue Yann d’Argent, Douarnenez,  06 34 96 03 13 – contact@opci-asso.fr – www.opci-asso.fr

Jeunes et bretons : Portrait d’une jeunesse afro-armoricaine

Vincent Paulic nous propose un regard différent sur l’identité bretonne, à travers le ressenti de ceux qu’il nomme les Afro-armoricains.

Ces jeunes qui ont un parent d’origine africaine voient souvent leur entourage retenir leur ascendance africaine plutôt que leur identité bretonne, et ce, même s’ils sont nés sur le territoire, et malgré une éducation française, voire très centrée sur la culture bretonne. Vincent Paulic traite ce paradoxe en noir et blanc « à l’image du drapeau breton », pour apporter son interprétation et sa sensibilité aux questions de l’identité, l’appartenance et le regard des autres.

Un cliché, des clichés

À la faveur de différents projets, Vincent Paulic a eu l’occasion de travailler avec de nombreuses Bretonnes métisses. Un jour, une personne l’interpella en lui demandant pourquoi il ne travaillait jamais avec des Bretonnes, lui faisant comprendre par l’un de ces gestes subtils que la couleur de leur peau était le problème. La question surprit beaucoup le photographe car la jeune femme en question – Nolwenn – était une jeune Briochine. Si elle n’était pas Bretonne, alors qu’était-elle ? Et qu’est-ce qu’être Breton finalement ? L’idée de ce projet était née.

Afin d’étoffer sa réflexion, Vincent Paulic a interrogé tous les jeunes métis bretons de son entourage pour savoir comment ils se situaient dans la société bretonne et quelle était l’ampleur du décalage entre leur identité et ce que les autres pensaient d’eux.

Il commence son travail en juillet 2013. Équipé d’un fond blanc, d’une chambre photographique 4×5 et d’un enregistreur audio, il sillonne les cinq départements de la Bretagne. Au détour des rencontres faites et des témoignages collectés, il nous donne à voir le portrait d’une jeunesse bretonne, ses souvenirs et ses réflexions quant à la culture bretonne et au regard de l’autre.

Les membres du jury lycéen Ouest-France, en partenariat avec le festival Photoreporter, ont retenu à l’unanimité ce projet novateur et audacieux sur la jeunesse et l’identité bretonne.

Déconstruire les clichés dans une perspective générationnelle

Aujourd’hui, Vincent Paulic cherche à exposer ce travail dans de nouveaux lieux afin de créer des débats autour de l’identité bretonne mais également de l’intégration, et du regard des autres.

Parallèlement, le photographe continue son investigation sans se limiter à la jeunesse. Il souhaite recueillir les témoignages d’autres générations afin d’appréhender ce qui a évolué durant ces cinquante dernières années ou ce qui, au contraire, reste identique.

On ne peut qu’être séduit par la pudeur avec laquelle le photographe vient perturber nos inconscientes représentations des Bretonnes et Bretons d’aujourd’hui.

Pour découvrir en images ce projet, rendez-vous sur le site de Vincent Paulic http://vincentpaulic.fr.

Les inventaires du patrimoine culturel immatériel en Bretagne

Bretagne Culture Diversité a pour mission la réalisation d’un inventaire permanent du patrimoine culturel immatériel (PCI) sur le territoire de la Bretagne historique. Les inventaires constituent une mesure de sauvegarde en soi et apparaissent comme une condition préalable aux autres mesures de sauvegarde envisageables ainsi qu’aux projets de valorisation, de diffusion et de transmission des éléments culturels.

En Bretagne, nombre d’inventaires ont déjà été menés sur le territoire. La prise en compte du PCI et l’appropriation de la convention de 2003 sont venus impulser une nouvelle dynamique régionale, dynamique dans laquelle la mission d’inventaire de BCD s’inscrit pleinement. Savoir-faire liés à la vannerie, connaissances du milieu maritime, expressions du patrimoine oral musical, pratiques vocales, et bien d’autres éléments du patrimoine immatériel sont au cœur de ces inventaires.

Les inventaires en Bretagne :

Une seule et même porte d’entrée pour 350 000 documents : www.bretania.fr

Donner à voir et à comprendre la Bretagne et son histoire, dans toute sa diversité : c’est là toute l’ambition de Bretania, le tout nouveau Portail des cultures de Bretagne (www.bretania.fr). Initié par la Région Bretagne et animé par l’association Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù, il a été lancé officiellement le 14 février à Lorient, en présence de Jean-Michel Le Boulanger, vice-président du Conseil régional à la culture, et Ronan Le Coadic, Président de BCD.

Véritable porte d’entrée ouvrant sur toutes les ressources culturelles et patrimoniales de la région, Bretania s’appuie à ce jour sur un réseau d’une dizaine de contributeurs (le CRBC, Cartolis, la Cinémathèque de Bretagne, Dastum, la Dépêche de Brest, l’INA Atlantique, le service de l’inventaire du Conseil régional, la bibliothèque numérique de l’Université de Rennes 2, la bibliothèque de Rennes Métropole, le KDSK). Partenaires du portail, ils ont réuni leurs fonds sonores ou visuels, collectés de longue date et déjà numérisés, pour mettre aujourd’hui à disposition du public un ensemble d’environ 350 000 documents numériques, enrichi de contenus éditoriaux.

Quels contenus ?

Depuis les enluminures du Moyen-Âge jusqu’aux articles de presse d’avant-guerre, en passant par les premières cartes postales du début du xxe siècle, la matière culturelle bretonne est immense. Bretania reflète cette richesse documentaire, proposée sous de multiples formes : sons, vidéos, images ou textes.

  • les archives du patrimoine oral, via l’association Dastum, offrent des ressources sonores et visuelles exceptionnelles, collectées depuis de longues années : chansons, musiques, contes, légendes, récits et témoignages ;
  • les inventaires patrimoniaux et architecturaux : le service de l’inventaire du Conseil régional y présente les notices réalisées sur le patrimoine bâti et le mobilier remarquable de Bretagne ;
  • les archives de la presse : la Dépêche de Brest, ancêtre du Télégramme, propose l’ensemble des articles publiés entre 1886 et 1944 ;
  • les archives audiovisuelles : la Cinémathèque de Bretagne mais aussi l’INA Atlantique constituent peu à peu la mémoire collective audiovisuelle de la région ;
  • les fonds d’iconographies, cartes, plans, manuscrits et autres livres rares : Cartolis, base de données du Cartopôle de Baud, propose par exemple 70 000 cartes postales anciennes de notre région.
  • Et aussi les bulletins des sociétés savantes, les fonds issus de la recherche universitaire (Rennes 2), les collections des musées, les Tablettes Rennaises de la bibliothèque numérique de Rennes Métropole, les fonds documentaires du KDSK et du centre de ressources bretonnes et celtiques (CRBC).

Un puissant moteur de recherche donnant accès à plusieurs bases de données

L’enjeu majeur de cette médiathèque du xxie siècle : permettre à tous de s’approprier ces éléments de la mémoire collective de Bretagne, pour mieux la comprendre, la transmettre et la réinventer.

Pour l’usager, il suffira de quelques clics et mots-clés sur www.bretania.fr pour accéder, via le moteur de recherche, à une matière jusqu’ici dispersée sur le Web au sein des bases de données des différents contributeurs.

Pour les partenaires qui, au fil de longues années de collectage et de numérisation, ont su conserver vivante la mémoire collective bretonne, le portail a l’avantage de mettre en avant leurs fonds tout en favorisant des visites plus approfondies sur leurs propres sites, que chacun continuera de gérer.

L’intérêt de Bretania est aussi d’avoir, en accord avec les contributeurs, enrichi les documents dits « primaires » de contenus éditoriaux (dossiers thématiques, frises, cartes, vidéos…) permettant au public de mieux décrypter les ressources mises à disposition. C’est là une part importante du travail de BCD.

Une médiathèque vivante et évolutive, appelée à s’enrichir

À l’avenir, pas question que Bretania en reste là : il s’agit d’un portail bien vivant qui sera complété, au fil du temps, de nouveaux apports et contributeurs, amenés progressivement à travailler en réseau.

L’équipe de Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù a aussi pour mission d’aller à la rencontre des détenteurs de données pour leur proposer un partenariat qui leur permettra de valoriser leur fonds, via le portail régional.

Parallèlement, BCD travaille à la diffusion du contenu du portail au sein d’autres sites, nationaux (Gallica) et internationaux (Européana), pour que cette matière bretonne circule librement sur la toile et dans le monde.

Devenir contributeur

Vous êtes une association, une structure publique ou privée détentrice de documents relatifs à la matière culturelle de Bretagne ?

Même si vos documents ne sont pas numérisés ou accessibles en ligne, l’équipe de Bretagne Culture Diversité étudiera avec vous les solutions pour mettre en valeur votre travail.

De nombreuses structures se sont déjà manifestées pour faire partie de ce projet ambitieux.

N’hésitez pas à nous contacter pour rejoindre le réseau des contributeurs !

Le 14 février, vous avez rendez-vous avec la Bretagne !

Lancement du Portail des cultures de Bretagne

Plus de 350 000 documents disponibles en quelques clics.

Donner accès, depuis une même porte d’entrée, à toute la matière culturelle et patrimoniale numérisée de Bretagne : c’est l’ambition que la Région et ses partenaires nourrissaient depuis plusieurs années. L’objectif est aujourd’hui atteint : photographies, films, archives de presse, cartes mais aussi fonds sonores, contés ou chantés sont désormais réunis pour permettre la (re)découverte de ce formidable patrimoine des cultures populaires de Bretagne, dans toute leur diversité.

Chargée par la Région d’animer ce nouveau portail, l’association Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù proposera un accès direct à cette vaste matière jusque-là disséminée sur le Web, mais aussi à ses propres contenus éditoriaux (dossiers, articles, vidéos…), permettant à chacun de mieux s’approprier les ressources mises à disposition. L’ensemble s’appuie sur le travail de nombreux contributeurs (l’association Dastum, la Cinémathèque de Bretagne, le Cartopôle de Baud…) qui, au fil de longues années de collectage et de numérisation, ont enrichi cette mémoire collective. Le Portail a pour vocation de mettre en valeur ces fonds, d’en faciliter la compréhension, tout en favorisant des visites plus approfondies sur les sites de chacun des contributeurs.

Une médiathèque vivante et évolutive

L’enjeu majeur est de rendre ces éléments du patrimoine des Bretonnes et des Bretons plus accessibles et connus en Bretagne mais aussi dans le monde, depuis des bibliothèques numériques nationales (Gallica) ou européennes (Europeana), favorisant ainsi le rayonnement de nos cultures populaires sur la toile.

Pas question par ailleurs que cette médiathèque du xxie siècle en reste là : il s’agit d’un portail bien vivant qui s’enrichira au fur et à mesure de nouveaux apports et de contributeurs.

Portail des cultures de Bretagne, ouverture le 14 février 2014 from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Comment fonctionne le Portail des cultures de Bretagne ?

Le portail des cultures de Bretagne ouvrira ses portes le 14 février prochain. Plus de 350 000 documents seront ainsi disponibles en quelques clics !

Cette vidéo vous explique le fonctionnement du Portail des cultures de Bretagne, du document primaire au signalement. Prenons l’exemple d’un précieux parchemin du XVème siècle conservé par un contributeur.

Le portail des cultures de Bretagne : comment contribuer ? from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

A voir également :

Qui contribue au Portail des cultures de Bretagne ?

Pourquoi contribuer au Portail des cultures de Bretagne ?